La communauté au secours des personnes influencables
Ces deux articles m'ont interpellé ce week end : When kids get hurt, who's to blame de Red Tape et MySpace plans on age restrictions sur Yahoo!
Il y a peu de temps, je vous demandais sur ce blog votre réaction à la question "où commencent les droits d'auteur et où s'arrête la vie privée". Emmanuel faisait remarquer fort justement qu'il s'agit, dans le cadre des sites de videos personnelles, à l'évidence de publication. Ce mot "publication", litéralement : mise à disposition du public, est ici le point pivot, car sans audience publique, ces performances ne seraient plus intéressantes. Or, c'est bien cette publication qui est au centre de dérives comme le "happy slapping" et autres cascades inconscientes.
Il ne s'agit pas pour moi d'interdire la publication, mais de proposer de la rendre "controlée", c'est à dire "diffusion restreinte". Je pense ainsi que celui qui publie aurait une plus grande conscience et une plus grande responsabilité de sa publication.
Le deuxième article est une forme de solution utilisée par MySpace. L'implémentation de cette restriction d'age pour rencontrer des mineurs ne sera qu'un disclaimer légal si le profile du membre n'est pas validé par la communauté à laquelle il appartient. Si tel est le cas, alors c'est bien un "neighborhood watch", une surveillance du voisinage par le voisinage qui a montré son efficacité.
Ces deux exemples ont un problème commun, l'influence sur les personnes à risque, jeune ou pas soit dit en passant, et une solution commune : la surveillance ou simplement la prise de conscience de la communauté pour son autorégulation. Chaque communauté trouvant son équilibre par son propre écosystème...
Qu'en pensez-vous ?
Il y a peu de temps, je vous demandais sur ce blog votre réaction à la question "où commencent les droits d'auteur et où s'arrête la vie privée". Emmanuel faisait remarquer fort justement qu'il s'agit, dans le cadre des sites de videos personnelles, à l'évidence de publication. Ce mot "publication", litéralement : mise à disposition du public, est ici le point pivot, car sans audience publique, ces performances ne seraient plus intéressantes. Or, c'est bien cette publication qui est au centre de dérives comme le "happy slapping" et autres cascades inconscientes.
Il ne s'agit pas pour moi d'interdire la publication, mais de proposer de la rendre "controlée", c'est à dire "diffusion restreinte". Je pense ainsi que celui qui publie aurait une plus grande conscience et une plus grande responsabilité de sa publication.
Le deuxième article est une forme de solution utilisée par MySpace. L'implémentation de cette restriction d'age pour rencontrer des mineurs ne sera qu'un disclaimer légal si le profile du membre n'est pas validé par la communauté à laquelle il appartient. Si tel est le cas, alors c'est bien un "neighborhood watch", une surveillance du voisinage par le voisinage qui a montré son efficacité.
Ces deux exemples ont un problème commun, l'influence sur les personnes à risque, jeune ou pas soit dit en passant, et une solution commune : la surveillance ou simplement la prise de conscience de la communauté pour son autorégulation. Chaque communauté trouvant son équilibre par son propre écosystème...
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